Diederick Van Hovell

Les bijoux sont fabri­qués à la main en Bel­gique par l’ar­tiste, qui orga­nise éga­le­ment des ate­liers pour per­mettre aux gens de fabri­quer leurs propres bijoux. Cela per­met de garan­tir une pro­duc­tion et un lieu de tra­vail éthiques.

L’ar­tiste uti­lise divers maté­riaux tels que le plexi­glas recy­clé, l’a­cry­lique, les plumes, ain­si que le lai­ton, l’argent, l’or, le bois et l’a­cier. Nous ne connais­sons pas l’o­ri­gine de ces maté­riaux, ni leur carac­tère durable. Tou­te­fois, compte tenu de la nature artis­tique et arti­sa­nale de ces pro­duits, nous pou­vons sup­po­ser que les maté­riaux ne finissent pas dans les décharges. Nous aime­rions cepen­dant en savoir plus sur les maté­riaux d’em­bal­lage.

La marque uti­lise beau­coup de plexi­glas et de métaux, qui sont des maté­riaux cir­cu­laires et recy­clables. Nous ne savons pas si l’ar­tiste pro­pose des ser­vices de répa­ra­tion, mais les pro­duits peuvent être faci­le­ment démon­tés et recy­clés.

La marque est située et pro­duit en Bel­gique. Nous ne connais­sons pas l’o­ri­gine des maté­riaux, ce qui rend la lon­gueur réelle de la chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment invé­ri­fiable. Nous ne connais­sons pas non plus leurs méthodes de trans­port, ce qui fait une énorme dif­fé­rence sur leur empreinte, quelle que soit la lon­gueur de la chaîne. 

L’ar­tiste uti­lise divers maté­riaux, dont des plumes. Les bijoux ne peuvent donc pas être consi­dé­rés comme végé­ta­liens et nous ne connais­sons pas l’o­ri­gine éthique des plumes.

Les bijoux conçus par Die­de­rick Van Hovell sont des œuvres d’art, et l’art ne suit pas les ten­dances, il est donc intem­po­rel ! Les ate­liers offrent éga­le­ment aux consom­ma­teurs la pos­si­bi­li­té de fabri­quer leurs propres bijoux selon leurs goûts, ce qui garan­tit que les pièces seront uti­li­sées pen­dant très long­temps avant d’être jetées ou recyclées.

Le site web de l’ar­tiste n’offre pas beau­coup de trans­pa­rence sur les bijoux, à l’ex­cep­tion de la maté­ria­li­té. Nous aime­rions avoir plus d’in­for­ma­tions sur l’o­ri­gine de ces maté­riaux, les maté­riaux d’em­bal­lage et le transport.