Wearable stories

Matériaux

Wea­rable Sto­ries uti­lise des maté­riaux natu­rels et arti­fi­ciels. Les che­mises, les robes et cer­tains pan­ta­lons sont com­po­sés à 100 % de vis­cose. La vis­cose est fabri­quée à par­tir de matières végé­tales: du bam­bou ou de la pulpe de bois. Tou­te­fois, cette matière a besoin de pro­duits chi­miques pen­dant sa pro­duc­tion et pour rendre les fibres suf­fi­sam­ment souples afin de les trans­for­mer en fils pour le tis­su. Vous recher­chez une alter­na­tive plus durable ? Choi­sis­sez le Ten­cel. Ce maté­riau est éga­le­ment uti­li­sé à plu­sieurs reprises dans les col­lec­tions Wea­rable Stories. 

Les col­lec­tions contiennent éga­le­ment de nom­breuses matières syn­thé­tiques (poly­es­ter, span­dex, rayonne, élas­thanne). Dans la col­lec­tion AW20, envi­ron 20 % des pan­ta­lons, 30 % des che­mises et 10 % des robes sont fabri­qués dans un tis­su syn­thé­tique. Ceux-ci sont fabri­qués à par­tir de pétrole et laissent des micro­plas­tiques lors du lavage. Nous sommes donc heu­reuses de lire que Wea­rable Sto­ries sou­haite réduire l’utilisation de matières syn­thé­tiques à l’avenir. 

Vous sou­hai­tez vous pro­cu­rer une pièce Wea­rable Sto­ries ? Optez pour des pièces en Ten­cel. Vous aurez l’em­bar­ras du choix et votre look sera plus éco-responsable. 

Vegan

Wea­rable Sto­ries uti­lise du Mohair: une laine fabri­quée à par­tir de chèvres ango­ras, pour ses pulls de la col­lec­tion hiver 2020. Mal­gré ses nom­breux avan­tages, ce n’est pas le pro­duit le plus res­pec­tueux des ani­maux. De nom­breux scan­dales ont révé­lé que les condi­tions dans les­quelles les chèvres vivaient étaient mal­trai­tantes. La marque ne peut pas s’assurer du bien être de ces chèvres. 

Conditions de travail

Wea­rable sto­ries sou­haite fabri­quer un pro­duit aus­si équi­table que pos­sible et coopère donc avec dif­fé­rents fabri­cants au Por­tu­gal, en Pologne, en Rou­ma­nie, en Ita­lie et en Macé­doine. La marque s’ef­force d’é­ta­blir des col­la­bo­ra­tions à long terme avec ses fabri­cants. Ils visitent chaque usine pour s’as­su­rer que le salaire est équi­table et que les condi­tions de tra­vail sont bonnes. Nous sommes impa­tientes de savoir com­ment ils contrôlent et garan­tissent cela.

Slow fashion

La marque accorde des remises impor­tantes tout au long de la sai­son et ne sou­haite pas sup­pri­mer la période des soldes. La tran­si­tion vers une indus­trie de la mode véri­ta­ble­ment lente ne se fera pas tout de suite.