STYGR

STY­GR tra­vaille avec l’a­te­lier de pro­duc­tion néer­lan­dais Makers Unite pour pro­duire sa col­lec­tion. Cet ate­lier offre des oppor­tu­ni­tés d’em­ploi aux nou­veaux arri­vants aux Pays-Bas afin de leur per­mettre d’ap­prendre la langue et de leur ser­vir de trem­plin vers le mar­ché du tra­vail. Les kimi­nis sont fabri­qués loca­le­ment dans l’a­te­lier d’Amsterdam. 

Les bom­bers contem­po­rains sont pro­duits de manière éthique dans l’a­te­lier Makers Unite d’Is­tan­bul. Grâce à cette col­la­bo­ra­tion avec l’a­te­lier de pro­duc­tion en Tur­quie, Makers Unite vise à revi­ta­li­ser l’in­dus­trie locale du tex­tile et de la mode, en garan­tis­sant des salaires équi­tables et un envi­ron­ne­ment de tra­vail sûr.

Les tis­sus pro­viennent de four­nis­seurs en Tur­quie et aux Pays-Bas. On ne sait pas exac­te­ment où et dans quelles condi­tions les tis­sus sont produits.

Mal­heu­reu­se­ment, les maté­riaux uti­li­sés dans la col­lec­tion STY­GR ne sont pas durables. La marque uti­lise sou­vent des matières syn­thé­tiques telles que le poly­amide et l’é­las­thanne. Ici, la marque pri­vi­lé­gie le style et la qua­li­té, avec des cou­leurs vives et des paillettes. L’in­con­vé­nient est qu’il y a un risque éle­vé de libé­ra­tion de micro-plas­tiques lorsque vous lavez votre veste. Par ailleurs, les matières syn­thé­tiques sont fabri­quées à par­tir de plas­tiques obte­nus à par­tir de pétrole brut, ce qui contri­bue à la consom­ma­tion de com­bus­tibles orga­niques limités. 

Le coton conven­tion­nel figure éga­le­ment dans la col­lec­tion. Bien qu’il s’a­gisse d’une matière natu­relle, elle pré­sente des incon­vé­nients. La culture du coton néces­site beau­coup d’eau d’ir­ri­ga­tion, de pes­ti­cides, d’in­sec­ti­cides et d’en­grais syn­thé­tiques. Cela a un impact néga­tif sur les sols et les éco­sys­tèmes locaux. 

STY­GR s’en­gage à amé­lio­rer cette situa­tion. Par exemple, la marque pré­voit de recy­cler davan­tage de maté­riaux de chute à l’a­ve­nir. Cela per­met­trait à la col­lec­tion de conti­nuer à briller et à étin­ce­ler, sans avoir à pro­duire de nou­veaux maté­riaux synthétiques.

La com­bi­nai­son de dif­fé­rents maté­riaux rend plus dif­fi­cile le recy­clage des vête­ments en fin de vie. Cela nuit à la cir­cu­la­ri­té de la marque. 

Si STY­GR com­mence à recy­cler les maté­riaux en fin de vie à l’a­ve­nir, cela fera une grande dif­fé­rence. Un ser­vice de répa­ra­tion ou la revente de vête­ments usa­gés pour­raient éga­le­ment être des moyens de s’en­ga­ger en faveur de la circularité.

STY­GR main­tient une chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment courte en tra­vaillant avec un petit nombre de par­te­naires de pro­duc­tion. Les vestes sont conçues par STY­GR elle-même dans son ate­lier de Haar­lem. La pre­mière col­lec­tion Kimi­ni est fabri­quée par Makers Unite aux Pays-Bas, tan­dis que les blou­sons bom­bar­diers sont pro­duits par un par­te­naire de Makers Unite à Istan­bul. Les tis­sus pro­viennent éga­le­ment des Pays-Bas et de Tur­quie res­pec­ti­ve­ment. On ne sait pas exac­te­ment où ils sont produits.

STY­GR n’u­ti­lise pra­ti­que­ment pas de matières ani­males dans ses créa­tions, mais cer­taines bom­ber jackets de la nou­velle col­lec­tion contiennent de la laine.

Mal­heu­reu­se­ment, STY­GR ne pré­cise pas ici d’où pro­vient la laine, ni quelles sont les condi­tions de vie des animaux.

Avec ses bom­bers, STY­GR a la col­lec­tion par­faite pour tous ceux qui aiment les blou­sons bran­chés ! Ce duo créa­tif est convain­cu que la bonne veste est la touche finale par­faite à votre tenue ! STY­GR a un style dis­tinct et uti­lise des élé­ments emblé­ma­tiques tels que les manches bal­lon, les tis­sus uniques et les poches plaquées.

La col­lec­tion de bom­ber jackets se décline dans des cou­leurs vives et des paillettes. Les maté­riaux et les fini­tions de haute qua­li­té garan­tissent que votre achat brille­ra long­temps. De plus, il existe un modèle idéal pour chaque sai­son et chaque tem­pé­ra­ture ! Ain­si, cette marque néer­lan­daise a pour objec­tif de faire par­tie de votre style per­son­nel, afin que vous ne puis­siez jamais vous en passer !

STY­GR s’est ouvert à COSH! et a par­ta­gé avec nous plus d’in­for­ma­tions sur l’atelier de pro­duc­tion. Même sur son propre site web, la marque est assez trans­pa­rente sur sa col­la­bo­ra­tion avec Makers Unite et sur le site de production. 

Mal­heu­reu­se­ment, il y a moins d’in­for­ma­tions sur l’o­ri­gine des maté­riaux. Nous connais­sons le pays d’o­ri­gine des tis­sus, mais cela ne dit rien sur les condi­tions dans les­quelles les maté­riaux ont été pro­duits.