Furore

La plus grande par­tie de la pro­duc­tion se fait en Bul­ga­rie, où les usines de cou­ture et de tri­co­tage sont déte­nues à 100% par une socié­té belge. De cette façon, de bonnes condi­tions de tra­vail peuvent être assurées.

Furore appar­tient à la socié­té Flan­ders Fashion Desi­gn Inter­na­tio­nal, qui dis­pose d’un label de qua­li­té pour ses marques. L’en­tre­prise a plus de 50 ans d’ex­pé­rience dans la créa­tion et la concep­tion de vête­ments pour les femmes. Chaque vête­ment Furore est fabri­qué à par­tir de maté­riaux de qua­li­té et est fabri­qué par des arti­sans. Les four­nis­seurs de tis­sus ita­liens ont une bonne et longue col­la­bo­ra­tion avec Furore. Les vête­ments sont de qua­li­té, la cou­ture est irré­pro­chable. Il est pos­sible d’ef­fec­tuer des retouches sur place. De cette façon, votre vête­ment s’a­dap­te­ra par­fai­te­ment à votre corps et sera confor­table pen­dant plu­sieurs années.

Les dif­fé­rentes col­lec­tions s’ac­cordent par­fai­te­ment, tant au niveau des cou­leurs que des sil­houettes. La col­lec­tion Furore est consti­tuée à 80% de tis­sus qui peuvent se por­ter tout au long de l’année et 10% de la col­lec­tion est com­po­sée de tis­sus chauds. Les 10% res­tants sont des voiles légers.

La base de la col­lec­tion est consti­tuée de fibres natu­relles telles que la soie, la laine, le lin et le coton. Il y a par­fois un mélange avec des fibres arti­fi­cielles telles que la vis­cose, le cupro et le tri­acé­tate. Le tri­acé­tate est éga­le­ment appe­lé ​“soie végé­ta­lienne” car la fibre de cel­lu­lose est d’o­ri­gine natu­relle. La vis­cose à 100 % et les pièces mélan­gées avec de la vis­cose sont éga­le­ment d’o­ri­gine natu­relle et offrent un grand confort. L’u­ti­li­sa­tion d’un petit pour­cen­tage de poly­es­ter ou de poly­amide mini­mise le risque de bou­lo­chage. Furore col­la­bore avec des fabri­cants de poly­es­ter et de poly­amide de confiance, inno­vants et de haute qua­li­té pour la créa­tion de pièces simples et recy­clables. Chez COSH ! nous ne sommes pas fans des tis­sus arti­fi­ciels tels que le poly­es­ter et le poly­amide, mais nous sommes très enthou­siastes quant à la façon dont Furore tra­vaille avec ces tis­sus intem­po­rels et pour une mode plus éco-res­pon­sable.

Les écharpes et les che­mi­siers sont fabri­qués en soie à 100%, mais les pan­ta­lons et les robes sont consti­tués d’un mélange de poly­es­ter, de vis­cose et d’é­las­thanne. Furore fabrique éga­le­ment des pan­ta­lons à par­tir d’un mélange d’a­cé­tate et de cupro.

Pour faci­li­ter le recy­clage, il est pré­fé­rable d’a­voir des pro­duits qui ne sont consti­tués que d’une seule fibre. Lorsque vous avez un mélange de dif­fé­rents maté­riaux, une par­tie des fibres se perd lorsque vous fabri­quez une nou­velle pièce. Nous atten­dons avec impa­tience les nou­veaux maté­riaux que Furore utilisera.

Furore uti­lise de la laine pour fabri­quer des pulls. Une par­tie de la col­lec­tion n’est donc pas végane.

Chez Furore, ​“les col­lec­tions se portent au fil des sai­sons”, explique Veerle Baert. La col­lec­tion ​“Never Out of Stock” de ​“The Offi­cial” se com­pose de pièces essen­tiel­le­ment intem­po­relles qui ne suivent pas les ten­dances ou les sai­sons. De cette façon, il n’y a pas de pro­blème de sur­stocks chez Furore. En plus de leur magni­fique col­lec­tion appe­lée ​“The Col­lec­tion”, elles pro­posent des articles uniques et sur­pre­nants en ​“édi­tion limi­tée”.

La plu­part des marques de mode essaient d’an­ti­ci­per les ten­dances et pro­duisent en espé­rant que les clients achè­te­ront. Les inven­dus sont pré­sen­tés pen­dant les soldes et le reste est brû­lé ou ven­du à des points de vente pour faire place à la nou­velle col­lec­tion. Chez Furore, pas de nou­veau­tés toutes les deux semaines, mais des vête­ments qui durent et sont intemporels.