Humanoid

Huma­noid s’ef­force de mettre en place une chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment plus durable et plus trans­pa­rente. Elle éta­blit des par­te­na­riats stables et à long terme avec les pro­duc­teurs. Sou­vent, la marque col­la­bore avec des arti­sans et de petites entre­prises fami­liales. Par exemple, les sacs et les cein­tures en cuir sont fabri­qués par des pro­duc­teurs arti­sa­naux aux Pays-Bas et en Ita­lie.

Même lorsque Huma­noid col­la­bore avec des socié­tés de pro­duc­tion plus impor­tantes, la marque pri­vi­lé­gie les fabri­cants euro­péens. Plus de 90 % de la pro­duc­tion a lieu dans l’U­nion euro­péenne, dans des pays comme la Rou­ma­nie et le Por­tu­gal. Ces fabri­cants tra­vaillent tou­jours dans le res­pect des lois euro­péennes régis­sant les condi­tions envi­ron­ne­men­tales et de tra­vail.

Huma­noid uti­lise de nom­breux maté­riaux dif­fé­rents dans ses col­lec­tions. Cer­tains de ces maté­riaux sont durables, comme le Ten­cel, le coton bio­lo­gique, le lin bio­lo­gique et le chanvre. Le coton et le lin bio­lo­giques sont cer­ti­fiés GOTS (Glo­bal Orga­nic Tex­tile Stan­dard). Cela signi­fie qu’au­cun pro­duit chi­mique n’est uti­li­sé dans le pro­ces­sus de pro­duc­tion. De plus, les condi­tions de tra­vail y sont contrô­lées.

Mal­heu­reu­se­ment, la marque uti­lise éga­le­ment des maté­riaux non durables, par exemple le poly­es­ter, le coton conven­tion­nel, le cupro, l’é­las­thanne et le poly­amide. Les maté­riaux syn­thé­tiques tels que le poly­es­ter, l’é­las­thanne et le poly­amide pré­sentent le risque que des micro­plas­tiques soient libé­rés lors du lavage des vêtements. 

Huma­noid prend des mesures pour réduire son impact envi­ron­ne­men­tal. Par exemple, la marque uti­lise des maté­riaux recy­clés pour les éti­quettes de ses vête­ments et les maté­riaux d’em­bal­lage. Pour évi­ter le gas­pillage, les col­lec­tions sont tou­jours pro­duites en petites quan­ti­tés. Et Huma­noid incor­pore ses propres chutes de pro­duc­tion dans des pro­jets créa­tifs pour évi­ter le gaspillage.

Les vête­ments d’Hu­ma­noid sont mal­heu­reu­se­ment dif­fi­ciles à recy­cler après usage. Cela est dû au fait que de nom­breux maté­riaux dif­fé­rents sont sou­vent com­bi­nés dans un seul vête­ment. Pour recy­cler ce pro­duit, il faut d’a­bord sépa­rer les dif­fé­rents maté­riaux, ce qui n’est pas pos­sible avec les tech­niques de recy­clage actuelles.

Huma­noid uti­lise effec­ti­ve­ment divers maté­riaux recy­clés dans ses créa­tions. Cela amé­liore la cir­cu­la­ri­té de la marque. Huma­noid étu­die éga­le­ment la meilleure façon de recy­cler ses propres déchets de pro­duc­tion en nou­veaux matériaux.

La majeure par­tie de la pro­duc­tion de Huma­noid a lieu en Europe. Par consé­quent, la chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment est assez courte. Les sacs sont même fabri­qués à la main aux Pays-Bas !

Huma­noid uti­lise divers maté­riaux d’o­ri­gine ani­male dans sa col­lec­tion. Le cuir d’a­gneau est uti­li­sé dans les bla­zers. La laine de mou­ton et l’al­pa­ga sont uti­li­sés. Pour ban­nir la souf­france ani­male de sa col­lec­tion, Huma­noid n’u­ti­lise que de la laine por­tant le label RWS (Res­pon­sible Wool Stan­dard). Ce label véri­fie les condi­tions de vie et le bien-être des animaux.

Mal­heu­reu­se­ment, Huma­noid donne peu d’in­for­ma­tions sur l’o­ri­gine de ces matières. Par consé­quent, COSH ! ne peut pas esti­mer d’où vient le cuir.

Huma­noid four­nit des conseils et des astuces sur la manière d’en­tre­te­nir ses vête­ments de manière durable. En lavant vos vête­ments à une tem­pé­ra­ture basse, vous éco­no­mi­sez de l’éner­gie et votre tenue dure­ra plus long­temps.

Les col­lec­tions d’Hu­ma­noid sont élé­gantes et mini­ma­listes. Elles sont idéales pour les femmes élé­gantes et auda­cieuses. Huma­noid pro­duit des pièces résis­tantes, au desi­gn intem­po­rel et décon­trac­té.

Huma­noid n’ob­tient pas de bons résul­tats en matière de trans­pa­rence. La marque par­tage peu d’in­for­ma­tions sur ses par­te­naires de pro­duc­tion ou sur l’o­ri­gine des maté­riaux. L’ab­sence de cer­ti­fi­cats est éga­le­ment désa­van­ta­geuse ici.