Marypup

Tous les pro­duits sont fabri­qués à la main dans des ate­liers voi­sins. Toute la pro­duc­tion a lieu à Bruxelles. On peut donc sup­po­ser que les condi­tions de tra­vail sont bonnes. En Bel­gique, les lois et les règle­ments sont stricts en matière de travail.

Les maté­riaux uti­li­sés pour les vête­ments de pluie sont syn­thé­tiques. Cela a un impact plus impor­tant sur l’en­vi­ron­ne­ment com­pa­ré aux maté­riaux natu­rels. Cepen­dant, il n’y a pas d’al­ter­na­tive pour les vête­ments de pluie, car ce maté­riau doit être résis­tant à la pluie et aux intempéries.

Tou­te­fois, Mary­Pup n’u­ti­lise que des maté­riaux recy­clés. Ces maté­riaux pro­viennent de décharges en Bel­gique. Mary­Pup uti­lise des tentes et des para­pluies pour ses col­lec­tions. Après la col­lecte, les tentes et les para­pluies sont triés, démon­tés, net­toyés et décou­pés. Puis, ils sont cou­sus dans les ateliers.

Mary­Pup est une marque cir­cu­laire, car elle uti­lise des déchets pour en faire de nou­veaux vête­ments. De cette façon, elle réduit la mon­tagne de déchets, tout en dimi­nuant le besoin de nou­velles matières premières.

Mary­Pup s’en­gage fer­me­ment à main­te­nir une chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment courte. Les matières pre­mières sont récol­tées en Bel­gique et toute la pro­duc­tion a lieu à Bruxelles. Pour l’ins­tant, l’en­tre­prise ne vend ses pro­duits qu’en Bel­gique. Les articles sont donc proche de chez n’ont pas dû par­cou­rir une longue dis­tance pour arri­ver jus­qu’à vous.

De plus, Mary­Pup s’en­gage à ne jamais expor­ter de pro­duits en dehors de l’U­nion euro­péenne. Ain­si, même si l’en­tre­prise devait s’é­tendre à d’autres pays, elle a l’in­ten­tion de gar­der sa chaîne d’exploitation en Europe.

La col­lec­tion Mary­Pup ne contient aucune matière d’o­ri­gine ani­male. Il s’a­git donc d’une marque entiè­re­ment végé­ta­lienne. Mal­heu­reu­se­ment, l’u­ti­li­sa­tion de maté­riaux syn­thé­tiques peut entraî­ner le rejet de micro­plas­tiques dans l’en­vi­ron­ne­ment. Cela a un impact impor­tant sur les éco­sys­tèmes marins et est nocif pour les ani­maux qui vivent autour.

Les micro­plas­tiques sont prin­ci­pa­le­ment libé­rés par le lavage des vête­ments syn­thé­tiques. Etant don­né que les vête­ments d’ex­té­rieur peuvent rare­ment être lavés, tels que les mac­kin­to­shoes, l’im­pact est limi­té. Pour en savoir plus sur les micro­plas­tiques et les océans, cli­quez ici.

Pour main­te­nir l’im­per­méa­bi­li­té de votre ciré, Mary­Pup recom­mande de trai­ter le pro­duit régu­liè­re­ment. Vous pour­rez pro­lon­ger la durée de vie de votre achat. Les maté­riaux et les tech­niques de pro­duc­tion de qua­li­té garan­tissent la longue durée du produit.

Mary­Pup est éga­le­ment enga­gée dans la slow fashion. Dans la col­lec­tion, il n’y a que trois modèles ; un mac­kin­tosh, une cape et un pan­ta­lon. Ces pro­duits sont tou­jours dis­po­nibles dans dif­fé­rentes tailles, et dans dif­fé­rentes cou­leurs ou impri­més. Ces der­niers dépendent des maté­riaux recy­clés et sont éga­le­ment tou­jours en petites séries.

Mary­Pup obtient de bons résul­tats en matière de trans­pa­rence. Comme la pro­duc­tion est en par­tie assu­rée par l’é­quipe Mary­Pup elle-même, celle-ci contrôle direc­te­ment la qua­li­té des pro­duits et les condi­tions sociales. L’au­to­col­lecte des matières pre­mières per­met d’a­voir une vision claire de l’o­ri­gine de ces matières.