Friendly Frenchy

Friend­ly Fren­chy contri­bue au main­tien des emplois et des savoir-faire dans la région bre­tonne. La marque favo­rise la pro­duc­tion locale et sou­tient les for­ma­tions afin de don­ner aux nou­velles géné­ra­tions des oppor­tu­ni­tés dans ce domaine. Elle garan­tit éga­le­ment le res­pect des bonnes condi­tions de tra­vail et des salaires équi­tables pour ses tra­vailleurs. Les bonnes condi­tions de tra­vail peuvent être assu­rées grâce aux règle­ments euro­péens dont relève la pro­duc­tion fran­çaise. De plus, Friend­ly Fren­chy vise à accroître son enga­ge­ment social en tra­vaillant avec un ESAT (éta­blis­se­ment et ser­vice d’aide par le tra­vail) ce qui per­met la mise en place d’un pro­gramme d’in­té­gra­tion pour per­sonnes por­teuses d’un han­di­cap. La marque sou­tient éga­le­ment la réin­ser­tion de déte­nus avec la mise en place d’un pro­gramme en prison.

Friend­ly Fren­chy pro­pose des col­lec­tions com­po­sées de dif­fé­rents maté­riaux qui honorent les tra­di­tions fran­çaises. Les mon­tures de la col­lec­tion Plage sont fabri­quées à par­tir de maté­riaux 100% bio­lo­giques, à base de plantes qui ne sont pas uti­li­sées pour la consom­ma­tion humaine ou ani­male. Ce maté­riau est com­po­sé d’huîtres, de moules et de coquilles Saint-Jacques recy­clées. Les déchets de coquilles Saint-Jacques pro­viennent des côtes bre­tonnes et nor­mandes et sont issus de l’in­dus­trie ali­men­taire et de par­te­na­riats avec des pêcheurs et des com­mer­çants de la côte fran­çaise. La col­lec­tion Solar­mor porte le label ​“Ori­gine France Garan­tie” et est fabri­quée main à par­tir de cel­lu­lose de bois asso­ciée à des coquilles recy­clées. Les autres lunettes sont fabri­quées à par­tir de déchets de pro­duc­tion de lunettes. La der­nière série de mon­tures est fabri­quée à par­tir de pépins de rai­sin recy­clés, bio­lo­giques et fran­çais. Ce déchet orga­nique est issu de la fabri­ca­tion du vin. 

Friend­ly Fren­chy vise à réduire son impact sur l’en­vi­ron­ne­ment à l’aide d’une pro­duc­tion locale et éco-res­pon­sable et selon les prin­cipes de l’é­co­no­mie cir­cu­laire et de l’é­co-concep­tion. La marque uti­lise des maté­riaux natu­rels d’o­ri­gine bio­lo­gique, des maté­riaux recy­clés, recy­clables et des déchets issus de la pêche et de la viti­cul­ture. De plus, Friend­ly Fren­chy sou­tient les actions de la Sur­fri­der Foun­da­tion Europe qui pro­tège le lit­to­ral et la mer.

De la matière à la fini­tion, les lunettes de cette marque sont entiè­re­ment fabri­quées loca­le­ment en France. La chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment de Friend­ly Fren­chy est donc courte et les lunettes par­courent une courte dis­tance : de coquillages de la mer fran­çaise à votre nez!

Bien que cer­tains coquillages aient abri­té des ani­maux marins vivants, il n’existe aucune infor­ma­tion sur les condi­tions de vie de ces ani­maux. Les coquillages uti­li­sés par Friend­ly Fren­chy sont des restes de pro­duits issus de la pêche et de la res­tau­ra­tion. Ces maté­riaux auraient fini à la pou­belle. Pour­quoi ne pas en faire des lunettes ? Les étuis à lunettes en feutre sont fabri­qués à par­tir de laine méri­nos d’o­ri­gine fran­çaise à 100%. Cepen­dant, les condi­tions d’élevage des mou­tons méri­nos res­tent inconnues.

Le maté­riau uti­li­sé pour les mon­tures est aty­pique et concer­nant le desi­gn, il y en a pour tous les goûts. Du clas­sique au moderne, avec motifs ou uni­co­lore, de formes angu­leuses ou rondes, qui sait, vous pour­riez tom­ber sur vos pro­chaines lunettes de soleil pré­fé­rées et éco­lo­giques! Vous trou­ve­rez éga­le­ment des lunettes de vue pour une vision plus nette. Chez Friend­ly Fren­chy, vous trou­ve­rez des lunettes qui cor­res­pondent à votre style. Vous serez élé­gante ou élé­gant pen­dant plu­sieurs années. 

Friend­ly Fren­chie pro­pose une carte de France sur laquelle sont indi­quées les étapes de la pro­duc­tion et la pro­ve­nance des maté­riaux. Mal­heu­reu­se­ment, il n’y a pas le nom exact des usines. Cepen­dant, pour chaque cadre, nous connais­sons la pro­ve­nance du coquillage et la ville d’où pro­viennent les restes. L’o­ri­gine des maté­riaux est donc faci­le­ment traçable !