SKFK

La marque s’ap­pe­lait à l’o­ri­gine Skun­funk, mais il y a quelques années, elle a adop­té une approche dif­fé­rente et a chan­gé son nom et sa méthode de tra­vail. Depuis lors, SKFK s’est trans­for­mée en une marque éco­lo­gique qui veut deve­nir com­plè­te­ment cir­cu­laire. Elle veut atteindre cet objec­tif d’i­ci 2020.

Leur coton bio­lo­gique est cer­ti­fié GOTS, ce qui signi­fie que les pro­duc­teurs de coton tra­vaillent dans de bonnes condi­tions et gagnent un salaire équi­table. Bien que la marque affirme être entiè­re­ment cer­ti­fiée com­merce équi­table, nous ne savons pas si leurs usines de cou­ture et de tri­co­tage portent le label GOTS.

D’a­près leur site web, SKFK tra­vaille prin­ci­pa­le­ment avec du coton cer­ti­fié GOTS, mais nous trou­vons encore par­fois des mélanges avec du coton tra­di­tion­nel. La marque uti­lise des tis­sus éco­lo­giques : lyo­cell len­zing, lin et chanvre. SKFK est éga­le­ment très atta­ché à la réuti­li­sa­tion des déchets tex­tiles. Par exemple, ils sélec­tionnent le poly­es­ter recy­clé des bou­teilles en plas­tique pour leurs vestes et uti­lisent le nylon des filets de pêche pour fabri­quer des sacs à main et des accessoires.

Dans le domaine du trans­port et de l’em­bal­lage, SKFK pour­suit son virage vert. Le trans­port de leurs pro­duits se fait sur l’eau ou avec des camions de petite dis­tance. L’a­vion est tota­le­ment évi­té par la marque, eh oui ! Pour leurs embal­lages, ils choi­sissent la ver­sion la moins pol­luante ou les embal­lages réuti­li­sables de RePack. Leurs poly­bags sont 100% bio­dé­gra­dables et les éti­quettes sont en papier coton. Tout cela, la plan­ta­tion de forêts et l’u­ti­li­sa­tion d’éner­gie verte doivent ouvrir la voie à une marque de vête­ments neutre en CO2.

La marque pro­pose la loca­tion de ses vête­ments colo­rés. Vous pou­vez donc louer une tenue com­plète pour 39 euros par mois. Cela per­met de réduire la consom­ma­tion inutile des consom­ma­teurs en mal de nou­veau­té et de faire en sorte que la quan­ti­té de déchets tex­tiles n’aug­mente pas aus­si vite. Inté­res­sant, mais pen­sez au trans­port. COSH ! trouve que le tra­jet qu’un vête­ment doit faire entre le client et le pres­sing SKFK à Rou­baix est encore un peu trop long.

Ce que nous applau­dis­sons éga­le­ment, c’est la trans­pa­rence sur leur empreinte éco­lo­gique. En tant que client, vous pou­vez sim­ple­ment la suivre sur leur site web. Pour chaque vête­ment, l’im­pact posi­tif d’un vête­ment SKFK par rap­port à une marque qui ne tra­vaille pas de manière durable est mesu­ré et visualisé.