Lapland

Anne­lies est res­pon­sable de toute la pro­duc­tion. Elle col­lecte les pièces de tis­su chez De Kring­win­kel et les uti­lise pour déve­lop­per et assem­bler un desi­gn unique. Les condi­tions de tra­vail sont donc éthiques.

Les tis­sus pro­viennent tou­jours de chez De Kring­win­kel, ils sont donc réuti­li­sés dans les nou­velles créa­tions de Lapland Tex­tiel. Mal­heu­reu­se­ment, il n’y a pas de clar­té sur les fibres uti­li­sées dans le tis­su, mais bien sûr elles peuvent dif­fé­rer par produit.

En réuti­li­sant des ​“déchets” post-consom­ma­tion, Lapland Tex­tiel contri­bue à l’é­co­no­mie cir­cu­laire. Les tis­sus usa­gés ont une seconde vie avec les pro­duits de Lapland.

Étant don­né que les pro­duits de Lapland Tex­tiel sont fabri­qués par la fon­da­trice, la marque pos­sède donc une chaîne très courte. Anne­lies achète elle-même les tis­sus, réa­lise le desi­gn et le pro­duit. Cela fait de Lapland une marque 100% belge.

On ne sait pas si des maté­riaux d’o­ri­gine ani­male sont uti­li­sés dans la col­lec­tion de Lapland Tex­tile. Il n’est donc mal­heu­reu­se­ment pas pos­sible de dire que c’est unr marque vegan. Tou­te­fois, s’il y avait des maté­riaux d’o­ri­gine ani­male dans les pro­duits de Lapland Tex­tile, il s’a­gi­rait de maté­riaux d’oc­ca­sion qui n’ont pas néces­si­té de souf­france ani­male directe.

Les pro­duits sont fabri­qués avec soin et atten­tion à la qua­li­té. La qua­li­té, la tex­ture et la cou­leur du tis­su déter­minent l’i­dée. C’est pour­quoi les séries de pro­duits sont limi­tées, et il s’a­git par­fois même de pièces uniques.

Lapland Tex­tiel par­ti­cipe notam­ment au Cut It Chal­lenge, en col­la­bo­ra­tion avec un col­lec­tif de tex­tile cir­cu­laire. Ce pro­jet fabrique des embal­lages et des patrons que vous pour­rez uti­li­ser pour réa­li­ser une nou­velle créa­tion à par­tir de vieux vête­ments. De cette manière, ils encou­ragent les gens à don­ner une seconde vie aux vête­ments.

Le fonc­tion­ne­ment de Lapland Tex­tiles est assez trans­pa­rent, car une seule per­sonne est impli­quée. Tou­te­fois, on ne sait pas quels maté­riaux sont uti­li­sés, car ce sont des ​“déchets” post-consom­ma­tion.