Économiser de l’eau
Leurs matières premières sont “cultivées” et achetées localement et ils organisent leur cycle de production le plus localement possible. Selon leurs recherches, un petit pays comme la Belgique produit 82 000 tonnes de déchets textiles par an. En Europe, cela représente 1 camion de déchets textiles par seconde, dont plus de 85% sont mis en décharge ou incinérés. Si nous essayons de visualiser ces volumes, ces chiffres sont alarmants. Moins de 15% de tous les déchets textiles sont recyclés. Même pour la petite différence qu’un projet comme Joseffa peut faire, ils trouvent absolument motivant de contribuer à la circularité des textiles. Non seulement ils contribuent à la réduction des déchets textiles dans les décharges, mais ils évitent également les émissions inutiles de CO2 causées par l’incinération des chemises jetées. En travaillant avec les tissus existants produits pour les chemises originales, ils peuvent éviter tout le cycle de production du coton. De cette façon, ils reévaluent toutes les matières premières qui composent le coton original.….. et l’eau qu’ils utilisent pour laver les chemises est l’eau de pluie locale. Il n’y a pas de pénurie en Belgique !
Donner de l’eau
En plus de fournir une alternative à la consommation d’environ 5 000 litres d’eau douce nécessaires à la production de chacune de leurs pièces à partir de coton neuf, ils soutiennent le projet KO NEERE au Burkina Faso, une région semi-désertique où les gens ont toujours été agriculteurs. De nombreux villages n’ont que peu ou pas d’accès à l’eau potable. Les femmes sont très vulnérables à la pauvreté. Le projet the KO NEERE-project, nitié et géré par AMURT/AMURTEL, améliore l’accès à l’eau et forme des femmes dans différents villages du Burkina Faso rural.