House Raccoon

House Rac­coon fait faire toutes ses créa­tions à l’a­te­lier social Mivas à Lier. Ici tra­vaillent des per­sonnes han­di­ca­pées qui ne trouvent pas de place sur le mar­ché du tra­vail. Avec House Rac­coon et Mivas, ils obtiennent la pos­si­bi­li­té de gagner leur argent en fabri­quant des objets de déco­ra­tion. House rac­coon est non seule­ment une marque durable et sociale, mais aus­si entiè­re­ment fabri­quée à la main en Bel­gique. Hell yeah!

Le maté­riau à par­tir duquel les créa­tions sont réa­li­sées est le Jes­mo­nite. Ce n’est pas un pro­duit natu­rel, mais il n’a pas un gros impact sur l’en­vi­ron­ne­ment. C’est un pro­duit à base d’eau qui ne contient aucune sub­stance orga­nique instable. Cela rend le maté­riau très res­pec­tueux de l’en­vi­ron­ne­ment et éga­le­ment inof­fen­sif lors de la pro­duc­tion. Pour scel­ler les pro­duits, House Rac­coon tra­vaille avec de la cire d’a­beille natu­relle. Afin de res­pec­ter la légis­la­tion, la marque tra­vaille avec du poly­uré­thane pour les usten­siles de cuisine.

House Rac­coon fait éga­le­ment de son mieux en ce qui concerne la consom­ma­tion d’eau. Par pro­duit, une consom­ma­tion de 2 litres est néces­saire, ce qui n’est pas trop mal. La marque choi­sit aus­si consciem­ment de ne pas tra­vailler avec des maté­riaux jetables dans les ate­liers. ​“Nous lavons donc tous nos moules, ce qui nous coûte plus en eau, mais réduit aus­si la pol­lu­tion de l’en­vi­ron­ne­ment en termes de déchets”, nous explique Anne­leen, une des créa­trices de la marque.

House Rac­coon s’en­gage en faveur de l’en­vi­ron­ne­ment en plan­tant des arbres. En effet pour chaque pièce ven­due, un arbre est plan­té au Gha­na, en Éthio­pie et dans d’autres régions d’A­frique. House Rac­coon col­la­bore avec des orga­ni­sa­tions telles que Trees For The Future, Bos+ et One­Tree­Plan­ted. Depuis le début du label, Anne­leen et Nathan ont déjà fait plan­ter 15 000 arbres.

Les pro­duits sont expé­diés sans uti­li­sa­tion de plas­tique. ​“Même notre scotch est en papier et les éti­quettes d’ex­pé­di­tion sont impri­mées sur du papier non trai­té”, explique Anneleen.