BeCultures

BeCul­tures s’ap­pro­vi­sionne au Royaume-Uni et en Bel­gique pour ses stocks dor­mants, et pour les acces­soires, ils viennent de diverses des­ti­na­tions cultu­relles telles que le Maroc, l’Inde et le Royaume-Uni jus­qu’à pré­sent. Nes­rine tra­vaille per­son­nel­le­ment avec les four­nis­seurs et emploie des cou­tu­rières en Bel­gique et au Maroc pour confec­tion­ner à la main ses magni­fiques pièces. 

Le fait de rendre visite à ses four­nis­seurs et ses cou­tu­rières garan­tit une rému­né­ra­tion équi­table et de bonnes condi­tions de tra­vail. L’ab­sence de pro­duits chi­miques lors du recy­clage per­met de pré­ser­ver la sécu­ri­té du vête­ment, tant pour les tra­vailleurs que pour les consommateurs.

BeCul­tures n’u­ti­lise que des tis­sus de récu­pé­ra­tion fabri­qués à par­tir de matières natu­relles telles que le coton, la laine et la soie. L’u­ti­li­sa­tion de maté­riaux natu­rels empêche les micro­plas­tiques d’af­fec­ter l’en­vi­ron­ne­ment. Les éti­quettes sont éga­le­ment en coton et en satin. Les bou­tons et les fer­me­tures à glis­sière de YKK sont les seuls élé­ments du vête­ment à ne pas être durables.

BeCul­tures uti­lise du papier et des sacs réuti­li­sables non plas­tiques pour l’em­bal­lage de ses com­mandes via le site. La marque n’u­ti­lise pas d’eau ni de pro­duits chi­miques pen­dant le pro­ces­sus de recy­clage. Elle choi­sit les options les plus mini­males et les plus durables pos­sibles pour la fabri­ca­tion des vêtements.

BeCul­tures ne reven­dique pas ouver­te­ment la cir­cu­la­ri­té, mais le concept est inté­gré à tous les aspects de la marque. L’u­ti­li­sa­tion de dead stocks garan­tit une uti­li­sa­tion plus longue des maté­riaux, car autre­ment, ils auraient fini dans des décharges. De plus, l’u­ti­li­sa­tion de maté­riaux natu­rels signi­fie qu’ils sont natu­rel­le­ment bio­dé­gra­dables et ne nuisent pas à l’é­co­sys­tème avec des micro­plas­tiques. La plu­part des vête­ments sont mono­ma­té­riaux et sont éga­le­ment faci­le­ment recy­clables à la fin de leur utilisation. 

BeCul­tures ne reven­dique pas ouver­te­ment la cir­cu­la­ri­té, mais le concept est inté­gré à tous les aspects de la marque. L’u­ti­li­sa­tion de dead stocks garan­tit une uti­li­sa­tion plus longue des maté­riaux, car autre­ment, ils auraient fini dans des décharges. De plus, l’u­ti­li­sa­tion de maté­riaux natu­rels signi­fie qu’ils sont natu­rel­le­ment bio­dé­gra­dables et ne nuisent pas à l’é­co­sys­tème avec des micro­plas­tiques. La plu­part des vête­ments sont mono­ma­té­riaux et sont éga­le­ment faci­le­ment recy­clables à la fin de leur utilisation. 

La marque est située en Bel­gique, la pro­duc­tion des vête­ments est réa­li­sée en Bel­gique et au Maroc, et la plu­part des maté­riaux pro­viennent du conti­nent. En rai­son du carac­tère cultu­rel de la marque, la chaîne ne peut pas être rac­cour­cie de manière signi­fi­ca­tive, mais cela est com­pen­sé par le fait que le fret aérien est évi­té lors du transport.

La marque uti­lise de la laine et un peu de soie, mais comme il s’a­git d’un stock dor­mant, il est donc impos­sible de connaître l’o­ri­gine des ani­maux et le trai­te­ment qui leur est réservé.

BeCul­tures pro­pose des modèles intem­po­rels qui intègrent des aspects cultu­rels et his­to­riques. Ces magni­fiques pièces sont fabri­quées dans des maté­riaux de haute qua­li­té pour garan­tir leur dura­bi­li­té. Le fait que les vête­ments soient fabri­qués à la main par des cou­tu­rières signi­fie éga­le­ment qu’il s’a­git d’une col­lec­tion slow fashion. Nes­rine donne éga­le­ment des conseils d’en­tre­tien lors de la vente des vête­ments afin qu’ils res­tent uti­li­sables le plus long­temps possible.

Nes­rine assure un niveau de tra­ça­bi­li­té sur les éti­quettes des vête­ments, indi­quant le lieu de pro­duc­tion, et est heu­reuse de com­mu­ni­quer aux consom­ma­teurs l’o­ri­gine des maté­riaux lors des ventes en per­sonne. Elle offre à COSH! la plus grande trans­pa­rence sur tous les aspects de la marque et, à mesure que la marque se déve­loppe, elle s’ef­force d’a­mé­lio­rer sa connais­sance de sa propre chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment.