Aiayu

Aiayu tra­vaille en étroite col­la­bo­ra­tion avec 11 par­te­naires de fabri­ca­tion dif­fé­rents. La marque impose des condi­tions strictes à tous ses par­te­naires de pro­duc­tion pour s’as­su­rer qu’ils pro­duisent de manière durable et éthique.

Aiayu est fière de la qua­li­té de ses pro­duits et de ses maté­riaux, c’est pour­quoi la marque sélec­tionne soi­gneu­se­ment les maté­riaux uti­li­sés dans sa col­lec­tion. La marque uti­lise prin­ci­pa­le­ment des maté­riaux natu­rels. En 2021, seule­ment 1% de la col­lec­tion était com­po­sée de maté­riaux syn­thé­tiques, tels que le poly­amide. Aiayu s’est fixé pour objec­tif de rem­pla­cer toutes les matières syn­thé­tiques par des matières recy­clées d’i­ci 2024.

La laine de lama consti­tue une part impor­tante des maté­riaux uti­li­sés par Aiayu. La laine de lama pro­vient de Boli­vie, où les ani­maux vivent libre­ment dans leur habi­tat natu­rel dans les Andes. La laine de lama se décline en de nom­breuses nuances de cou­leurs, c’est pour­quoi Aiayu choi­sit d’u­ti­li­ser ces cou­leurs natu­relles. Comme la marque ne teint pas cette matière, moins de pro­duits chi­miques sont néces­saires dans le pro­ces­sus de production.

Le cache­mire est très impor­tant pour le patri­moine cultu­rel du Népal et des régions envi­ron­nantes. Aiayu uti­lise du cache­mire pro­ve­nant de petits éle­veurs de chèvres au Népal. La marque tra­vaille ain­si avec les com­mu­nau­tés locales pour pré­ser­ver ce mode de vie ori­gi­nal. Les pro­duits en cache­mire sont éga­le­ment fabri­qués à la main au Népal. Pour réduire la quan­ti­té de cache­mire, Aiayu com­bine cette matière avec du lin. Il s’a­git d’une matière durable, natu­relle, solide et aérée. Cette com­bi­nai­son per­met à Aiayu de conce­voir des tri­cots doux et durables tout en limi­tant la quan­ti­té de matières animales.

La laine de yak et de sar­tuul pro­vient de Mon­go­lie. Aiayu tra­vaille avec une coopé­ra­tive d’é­le­veurs nomades mon­gols. Cette coopé­ra­tive a été créée en col­la­bo­ra­tion avec une orga­ni­sa­tion suisse de déve­lop­pe­ment afin de don­ner aux ber­gers un reve­nu plus stable et plus équi­table. Aiayu sélec­tionne les fibres les plus fines (et les plus douces) du sous-poil du yak pour ses vêtements.

Aiayu uti­lise uni­que­ment du coton bio­lo­gique cer­ti­fié GOTS (Glo­bal Orga­nic Tex­tile Stan­dard). Cela signi­fie que le coton est pro­duit sans l’u­ti­li­sa­tion de pro­duits chi­miques. De plus, le GOTS contrôle éga­le­ment la consom­ma­tion d’eau et les condi­tions de tra­vail du producteur. 

La plu­part du coton d’Aiayu pro­vient de l’or­ga­ni­sa­tion à but non lucra­tif Chet­na Orga­nic. Cette orga­ni­sa­tion aide les pro­duc­teurs de coton indiens à obte­nir un meilleur reve­nu grâce à des pra­tiques agri­coles durables.

La marque danoise col­la­bore avec Orga­nic Cot­ton Colours (OCC) pour conce­voir des pro­duits à par­tir de varié­tés anciennes de coton non teint, culti­vées dans une palette de cou­leurs naturelles.

Enfin, la col­lec­tion com­prend des modèles fabri­qués en soie. Cette soie pro­vient de la région d’As­sam en Inde. Dans cette région, l’é­le­vage des vers à soie Eri est un arti­sa­nat tra­di­tion­nel. Cette soie est éga­le­ment appe­lée soie de la paix car les cocons ne sont récol­tés qu’a­près leur éclo­sion.

Aiayu est cir­cu­laire car la col­lec­tion est presque entiè­re­ment com­po­sée de maté­riaux natu­rels. La plu­part de la col­lec­tion est com­po­sée de mono­ma­té­riaux. Cela signi­fie qu’un vête­ment est fabri­qué à par­tir d’un seul maté­riau, par exemple 100% soie. Ces vête­ments sont plus faciles à recy­cler après usage.

De plus, tous les vête­ments fabri­qués à par­tir de maté­riaux orga­niques, comme le coton orga­nique, sont bio­dé­gra­dables. Tou­te­fois, cela ne vaut que s’ils ne contiennent pas de fil à coudre syn­thé­tique ou de colo­rants chi­miques.

Les maté­riaux syn­thé­tiques sont encore pré­sents dans moins de 1 % de la col­lec­tion. Cer­tains modèles tri­co­tés néces­sitent une petite quan­ti­té de poly­amide pour garan­tir la qua­li­té du vête­ment. Sans ce poly­amide, le vête­ment pour­rait se défor­mer à l’u­sage.

Aiayu a un contact direct avec tous ses par­te­naires de fabri­ca­tion, ce qui per­met à la marque de mieux contrô­ler l’im­pact social et envi­ron­ne­men­tal de sa chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment. La marque peut ain­si faci­le­ment visi­ter les usines et sou­te­nir les tra­vailleurs et leurs com­mu­nau­tés. 

Pour réduire la dis­tance de leur chaîne d’ap­pro­vi­sion­ne­ment, Aiayu veille à ce que les pro­duits soient tou­jours fabri­qués dans la région d’où pro­viennent les maté­riaux. Les vête­ments en coton, par exemple, sont fabri­qués en Inde, où le coton lui-même est culti­vé. Pour­tant, les pro­duits par­courent un long che­min depuis la Boli­vie, le Népal et l’Inde pour être ven­dus en Europe.

La col­lec­tion d’Aiayu se com­pose en grande par­tie de matières ani­males. La marque attache une grande impor­tance au bien-être des ani­maux et s’en­gage à tou­jours sélec­tion­ner les options les plus res­pec­tueuses des ani­maux. Comme les matières pro­viennent de petits pro­duc­teurs ou de com­mu­nau­tés locales, il y a plus de trans­pa­rence sur le bien-être des ani­maux. Cela per­met de s’as­su­rer que le pro­duc­teur ou le ber­ger dépend des reve­nus de la laine ou de la soie et prend bien soin des animaux.

La laine de lama pro­vient de petits ber­gers de Boli­vie. Ici, les lamas vivent libre­ment dans leur habi­tat natu­rel. La tonte annuelle n’est pas nui­sible et est même néces­saire pour l’a­ni­mal. En effet, les lamas ne perdent pas leur four­rure d’eux-mêmes et peuvent sinon s’ef­fon­drer à cause de la cha­leur en été.

Le cache­mire pro­vient éga­le­ment de petites com­mu­nau­tés de ber­gers du sud de l’Eu­rope. Les chèvres sont tra­di­tion­nel­le­ment gar­dées et soi­gnées au Népal. Afin de réduire les besoins en cache­mire, Aiayu com­bine la laine avec du lin.

La laine de sar­tuul et de yak pro­vient de Mon­go­lie. Aiayu tra­vaille avec une orga­ni­sa­tion suisse pour sou­te­nir les ber­gers nomades de la région. Le mou­ton sar­tuul et le yak pro­viennent de la steppe mon­gole, ils vivent donc dans leur habi­tat naturel.

Pour la soie éga­le­ment, Aiayu choi­sit l’op­tion la plus res­pec­tueuse des ani­maux : la soie de la paix. La soie Eri uti­li­sée par la marque est pro­duite de manière tra­di­tion­nelle en Inde. Les che­nilles Eri y sont culti­vées avec beau­coup de soin et de savoir-faire, et la soie n’est récol­tée qu’a­près l’é­mer­gence des papillons.

Les col­lec­tions intem­po­relles d’Aiayu trans­cendent les ten­dances et les sai­sons. Pour Aiayu, l’his­toire de chaque pro­duit est aus­si impor­tante que son esthé­tique. La marque a un style mini­ma­liste et pro­pose plu­sieurs col­lec­tions. Vous trou­ve­rez aus­si bien des vête­ments que de la lite­rie, des ser­viettes et des cou­ver­tures.

Les créa­tions d’Aiayu sont des­ti­nées à être uti­li­sées pen­dant long­temps. C’est pour­quoi la marque offre une garan­tie de cinq ans sur tous les tri­cots, et de deux ans sur tous les pro­duits en coton tis­sé. Pen­dant cette période de garan­tie, vous pou­vez faire répa­rer votre achat gra­tui­te­ment si néces­saire. 

Pour évi­ter la sur­pro­duc­tion, la marque danoise lance de nou­veaux modèles deux fois par an. Ain­si, les dif­fé­rents sites de pro­duc­tion ont le temps de fabri­quer chaque pro­duit avec soin.

Aiayu est très trans­pa­rente sur son fonc­tion­ne­ment. La marque four­nit des infor­ma­tions sur son lieu de pro­duc­tion et sur les par­te­naires avec les­quels elle tra­vaille. L’o­ri­gine des maté­riaux est éga­le­ment four­nie, bien que cette infor­ma­tion ne soit pas détaillée.